6 mai 2016
Le terme « coaching » semble avoir plus de résonance sur un terrain de soccer que dans un cabinet d’avocats. Cependant, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à s’adjoindre un « coach ». Dans un article du PD Quarterly, Jim Moore explique pourquoi certaines entreprises pourraient envisager l’embauche d’un « coach ». Osler offre de l’accompagnement au sein du cabinet. Steve Cline, responsable de la gestion de carrière chez Osler, affirme cependant que tous n’étaient pas ouverts au départ à cette idée. « Le renforcement constant du volet confidentialité (a été la clé) », mentionne-t-il.
Les accompagnateurs offrent un encadrement confidentiel aux employés d’entreprises. Leur travail consiste à les aider à trouver la meilleure façon d’atteindre leurs objectifs de carrière. Avant de recruter un « coach », il est important de déterminer si cet ajout est pertinent. De plus, les entreprises doivent également s’assurer du caractère confidentiel de l’accompagnement. Steve Cline a noté que, en l’absence de renforcement constant, la plupart des programmes ne parviennent pas à voir le jour.
« Le fait que les sociétaires aient entièrement confiance en la confidentialité de mon travail auprès d’eux (contribue à atténuer) leur scepticisme », précise Steve Cline.
Le « coaching » peut ultimement contribuer à améliorer les taux de rétention de par la capacité des accompagnateurs à aider les sociétaires à normaliser leur expérience de travail. Les accompagnateurs peuvent également leur fournir des outils et rassurer ceux et celles qui ont peut-être déjà un pied sur le seuil de la porte.
« Les avocats qui se sentent soutenus tout au cours de leur parcours deviennent associés ou d’heureux anciens », ajoute Steve Cline.
Vous vous demandez peut-être si le temps est venu de vous adjoindre un « coach »? La lecture de l’article Is it time to add a coach to your team? de Jim Moore, publié dans le numéro de mai 2016 du PD Quarterly, vous éclairera à ce sujet.